Feux d'artifice sur des cerfs-volants

dudule52,24/01/2014

janno, ça c'est la goutte d'eau qui met le feu aux poudres ! on aura tout entendu sur SDF (lu) ! tu devrais savoir que la puissance électromagnétique est inversement proportionnelle à la puissance de la gravitation universelle mais proportionnelle à la puissance nucléaire à la condition d'être soumise à des variations de température n'éxedant pas le quart de la circonférence du soleil ! on se renseigne avant de dire n'importe quoi, mon grand !

janno,25/01/2014

tu a raison sur 2point mes la masse nucléaire ne correspond pas a la puissance du a la circonférence du soleil même si lui rentre en érruption spatial supernova on aura toujours les électron de matière noir qui nuiront au système inter-galactique.

dudule52,25/01/2014

oui janno, il y aura toujours des électrons de matière noire surtout en afrique mais nuisent-ils à l'intergalacticité bi-polaire, je ne suis pas sûr !

janno,25/01/2014

Nous allons considérer le système d’équations différentielles :
(1)
x
0
(
t
) =
x
(
t
)(
A
1
(
t
)
a
1
;
1
(
t
)
x
(
t
)
a
1
;
2
(
t
)
y
(
t
))
y
0
(
t
) =
y
(
t
)(
A
2
(
t
)
a
2
;
1
(
t
)
x
(
t
)
a
2
;
2
(
t
)
y
(
t
))
;
où les coefficients
A
i
pour
i
=
1
;
2 et
a
i
;
j
pour
i
;
j
=
1
;
2 sont des fonctions régulières du temps
t
et périodiques de période 1. Nous faisons des hypothèses de positivité sur ces coefficients : plus
précisément pour tout temps
t
,
a
i
;
j
(
t
)
>
0 pour
i
;
j
=
1
;
2, et les fonctions
A
i
,
i
=
1
;
2 ont une
moyenne positive
R
1
0
A
i
(
t
)
dt
>
0.
Les fonctions
x
(
t
)
et
y
(
t
)
représentent les densités de deux populations au temps
t
dans un
écosystème fermé. Chaque population, en absence d’interaction avec l’autre espèce, tend à
croître exponentiellement (avec un taux instantané
A
i
) si le nombre de ses individus est petit.
Cette croissance est limitée par la compétition interne (ou pollution) (modélisée par le coeffi-
cient
a
i
;
i
), si le nombre des individus est grand. L’interaction des deux populations est de type
compétitif : le taux de croissance de la population
i
diminue proportionnellement à la densité
de la population
j
6
=
i
(avec un coefficient
a
i
;
j
).
Dans les modèles les plus classiques de type prédateurs-proies ou espèces en compétition de
Lotka-Volterra, les coefficients de vitalité et l’environnement (nourriture, température etc...)
sont constants. Un modèle plus réaliste consiste à supposer une variation périodique en temps

dudule52,26/01/2014

oui janno, après tout, tu as peut-être raison, pendant le week-end, je vais relire "mein kampf" car page 4526, il me semble qu'il y a un début d'explication sur la relativité verticale des masses infuses !

C'EST BIZARRE, PERSONNE NE VIENT CONTRARIER NOS DEMONSTRATIONS ERUDITES !
(Z'ont pas été à l'école ou quoi !)